Prédominance de l’autofinancement et montée en puissance du capital-risque Quels leviers de financements mobilisez-vous ? L’autofinancement demeure le principal outil de financement, (Échantillon de 309 sociétés) utilisé par 91 % des éditeurs, suivi par l’endettement bancaire (56 %) et les subventions publiques (36 %, crédit d’impôt 91 % 6 % 4 % recherche, Crédit impôt innovation, Jeune entreprise Capacité d'autofinancement innovante). Arrivent ensuite les recours capital risque français 30% Endettement (bancaire, 56 % 41 % 4 % et étranger (35 %) et aux Business Angels (12 %), chiffres convertible, etc...) en nette progression, qui démontrent, au-delà des sources Subventions publiques 36 % 62 % 3 % de financement classiques, l’intérêt des investisseurs pour Capital risqueurs français 30 % 61 % 9 % ce secteur. En revanche, si le crowdfunding (financement Business Angels 12 % 85 % 3 % participatif) se développe dans d’autres secteurs d’activité, il n’est utilisé que par 1 % des éditeurs interrogés. Capital risqueurs étrangers 5 % 88 % 7 % Introduction en bourse 5 % 92 % 3 % 1 % Crowdfunding 97 % 2 % 0 % 10 % 20 % 30 % 40 % 50 % 60 % 70 % 80 % 90 % 100 % Source EY - Syntec Numérique Non Oui Prévu Avez-vous eu recours à BPI France ? Le recours à BPI France reste très fréquent dans la stratégie (Échantillon de 309 sociétés) de financement des éditeurs. Associé à d’autres moyens de financement, comme des fonds de capital-risque, 3 % l’institution permet aux start-up et PME de vaincre les effets de seuils et de changer d’échelle dans un environnement où elles éprouvent des difficultés à grandir. 45 % 52 % Oui Non Ne sait pas Source EY - Syntec Numérique e 5 édition - Octobre 2015 11
Panorama Top 250 des éditeurs et créateurs de logiciels français - 5e Édition Page 10 Page 12