BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

e Avril 2015 | ey.com/ccb | 12 édition | Points saillants canadiens BaromÚtre mondial de la confiance des entreprises Innovation, complexité et perturbations, trois facteurs qui définissent le nouveau marché des F&A

Principaux rĂ©sultats en matiĂšre de F&A des entreprises prĂ©voient procĂ©der 56%Ă  des acquisitions au cours des 12 prochains mois Page 8 des activitĂ©s de F&A seront des 73%investissements novateurs Page 13 de plus d’entreprises ont l’intention de rĂ©aliser des transactions 50%dans le segment supĂ©rieur du marchĂ© intermĂ©diaire Page 13 des entreprises ont l’intention de 47%rĂ©aliser davantage de transactions que l’an dernier Page 10 des entreprises ont mis en place une protection proactive contre 45%les cyberattaques dans le cadre du processus de F&A Page 12 BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Innovation, complexitĂ© et perturbations, trois facteurs qui dĂ©finissent le nouveau marchĂ© des F&A Selon le 12e numĂ©ro de notre BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises, le marchĂ© mondial des F&A continue sur la lancĂ©e positive créée en 2014. Pour la premiĂšre fois en 5 ans, plus de la moitiĂ© de nos rĂ©pondants prĂ©voient faire des acquisitions au cours des 12 prochains mois, tandis que les pipelines de transactions prennent encore de l’ampleur. Les cadres supĂ©rieurs font preuve d’un optimisme grandissant Ă  l’égard de l’économie mondiale, une tendance plus gĂ©nĂ©ralisĂ©e Ă  l’échelle des pays qu’en 2014. Cet optimisme Ă©conomique, combinĂ© avec la confiance soutenue inspirĂ©e par les bĂ©nĂ©fices des sociĂ©tĂ©s et les autres principaux indicateurs de marchĂ©, crĂ©e un environnement propice pour les entreprises qui prĂ©parent des transactions audacieuses, notamment des F&A, pour gĂ©nĂ©rer de la valeur. Notre sondage rĂ©vĂšle les trois principales raisons de l’augmentation marquĂ©e des intentions en matiĂšre de transactions. Mentionnons tout d’abord l’arrivĂ©e de nouveaux participants, Ă  la fois des entreprises en dĂ©marrage et des sociĂ©tĂ©s qui rĂ©intĂšgrent le marchĂ© aprĂšs ĂȘtre restĂ©es Ă  l’écart pendant plusieurs annĂ©es. DeuxiĂšmement, les conditions Ă©conomiques divergentes accĂ©lĂšrent la conclusion de F&A transfrontaliĂšres, le dynamisme actuel dont font preuve bon nombre de pays dĂ©veloppĂ©s Ă©tant alimentĂ© par la chute des prix du pĂ©trole et les fluctuations monĂ©taires. TroisiĂšmement, les effets perturbateurs de l’innovation intensifient l’activitĂ© transactionnelle Ă  chaque niveau de l’entreprise. Bien sĂ»r, de nombreux dĂ©fis attendent les conseils d’administration. La volatilitĂ© accrue qui sĂ©vit sur les marchĂ©s des produits de base et de change, la divergence entre les conditions Ă©conomiques et les politiques monĂ©taires des divers pays et la persistance des prĂ©occupations gĂ©opolitiques sont des facteurs trĂšs complexes. En outre, l’évolution rapide des technologies expose les sociĂ©tĂ©s Ă  de nouveaux risques, comme le risque liĂ© Ă  la cybersĂ©curitĂ©, qui est maintenant un enjeu important que les entreprises doivent gĂ©rer dans le cadre du processus transactionnel. En dĂ©pit de ces risques, il ressort du prĂ©sent BaromĂštre que le marchĂ© mondial des F&A prend un nouvel Ă©lan aprĂšs des annĂ©es de crise. Les entreprises apprennent Ă  crĂ©er des possibilitĂ©s et Ă  stimuler la croissance dans un contexte Ă©conomique et gĂ©opolitique plus concurrentiel. AprĂšs cinq ans de stagnation, nous assistons aux dĂ©buts d’un nouveau marchĂ© des F&A, un marchĂ© marquĂ© par l’innovation, la complexitĂ© et les changements perturbateurs. Pip McCrostie Vice-prĂ©sidente mondiale Services consultatifs BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 1

Contexte macroĂ©conomique Au cours des 12 prochains mois, l’activitĂ© de F&A sera avantagĂ©e par les perspectives extrĂȘmement positives de l’économie mondiale combinĂ©es Ă  la soliditĂ© continue des bĂ©nĂ©fices des sociĂ©tĂ©s et des autres principaux indicateurs de marchĂ©, y compris l’accĂšs au crĂ©dit. 83% des cadres supĂ©rieurs considĂšrent que l’économie mondiale s’amĂ©liore 2 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Contexte macroĂ©conomique Les cadres supĂ©rieurs considĂšrent que Q : Que pensez-vous de la situation de l’économie l’économie mondiale plus large connaĂźt mondiale aujourd’hui? une reprise durable Avr. 2014 Oct. 2014 Avr. 2015 La vaste majoritĂ© des cadres supĂ©rieurs considĂšrent dĂ©sormais que l’économie mondiale s’amĂ©liore et s’est considĂ©rablement relevĂ©e depuis 14 % l’an dernier. Notre sondage rĂ©vĂšle que la confiance est gĂ©nĂ©ralisĂ©e Ă  3 % l’échelle des pays. En 2014, seuls les États-Unis, le Royaume-Uni et la 31 % 44 % Chine suscitaient l’optimisme Ă©conomique. En 2015, l’économie mondiale 60 % 53 % 83 % doit son essor Ă  de multiples moteurs : l’économie amĂ©ricaine, dont la croissance Ă©tait d’abord Ă  peine perceptible, mais est dĂ©sormais sans 9 % Ă©quivoque; l’économie de la Chine, qui, bien qu’au ralenti, continue de croĂźtre; et la zone euro, oĂč l’ùre d’austĂ©ritĂ© arrive Ă  sa fin dans les 3 % pays Ă©conomiquement forts et qui apprend Ă  gĂ©rer les risques ailleurs. MalgrĂ© les risques de baisse toujours importants, les cadres supĂ©rieurs En dĂ©tĂ©rioration Stable En amĂ©lioration s’efforcent de tirer parti des avantages potentiels de la croissance. Les perspectives de bĂ©nĂ©fices des sociĂ©tĂ©s et Q : Veuillez Ă©valuer votre degrĂ© de confiance Ă  l’égard des des autres principaux indicateurs de marchĂ© indicateurs suivants Ă  l’échelle mondiale. sont toujours positives 77 % 72 % 72 % Selon notre sondage, la croissance des bĂ©nĂ©fices des sociĂ©tĂ©s inspire 65 % 64 % 69 % un peu moins confiance que l’an dernier, mais cette confiance demeure 54 % 58 % 54 % 54 % tout de mĂȘme Ă©levĂ©e, ce qui pourrait ĂȘtre le signe que le contexte dans 49 % 51 % lequel Ă©voluent les entreprises entre dans une nouvelle phase. Dans de nombreuses sociĂ©tĂ©s, les programmes d’efficacitĂ© et de rĂ©duction des coĂ»ts Ă  plus court terme mis en place au dĂ©but de la crise financiĂšre mondiale sont moins rentables. Les Ă©conomies de coĂ»ts qui auraient dĂ» dĂ©couler des programmes de transformation structurale Ă  plus long terme en cours tardent Ă  se concrĂ©tiser. Ces sociĂ©tĂ©s doivent donc BĂ©nĂ©ïŹces de AccĂšs StabilitĂ© des marchĂ©s Évaluation des s’attendre Ă  un essoufflement Ă  court terme de la croissance de leurs l’entreprise au crĂ©dit Ă  court terme actions / perspectives bĂ©nĂ©fices. De plus, l’accĂšs au crĂ©dit est difficile, mais, dans l’ensemble, des marchĂ©s boursiers favorable. Aux États-Unis, le programme d’assouplissement quantitatif Avr. 2014 Oct. 2014 Avr. 2015 arrive Ă  sa fin, l’Europe a mis en place son propre programme et le Japon maintient le sien, ce qui devrait faciliter l’accĂšs au crĂ©dit Ă  l’échelle mondiale. La course pour recruter et maintenir en poste Q : Au chapitre de l’emploi, que compte faire votre les meilleurs talents s’intensifie organisation au cours des 12 prochains mois? La situation mondiale de l’emploi semble entrer dans une nouvelle phase. Les sociĂ©tĂ©s, en plus d’augmenter leur effectif, doivent relever 29 % 65 % 6 % le dĂ©fi de maintenir en poste leurs meilleurs talents. PrĂšs des deux tiers Avr. 2015 des cadres supĂ©rieurs affirment qu’ils maintiennent la taille de leur 52 % 41 % 7 % effectif, tandis que le nombre de ceux qui prĂ©voient l’accroĂźtre est Oct. 2014 en baisse par rapport Ă  il y a six mois, mais inchangĂ© en regard d’il 31 % 52 % 17 % y a un an. Le pourcentage de rĂ©pondants qui s’attendent Ă  rĂ©duire Avr. 2014 le nombre de leurs employĂ©s est le plus bas depuis la parution du premier BaromĂštre en 2009. La forte progression de l’emploi aux CrĂ©er des emplois / Maintenir l’effectif RĂ©duire l’effectif États-Unis et au Royaume-Uni et l’amĂ©lioration de la situation dans la recruter des talents actuel zone euro incitent les sociĂ©tĂ©s Ă  ne pas perdre de vue le recrutement de talents au moment oĂč elles doivent dĂ©fendre leur effectif contre les tentatives de recrutement de la part de leurs concurrentes. Les prĂ©occupations gĂ©opolitiques persistent, Q : Quel est selon vous le plus important risque Ă©conomique la volatilitĂ© des prix des produits de base et auquel votre entreprise sera exposĂ©e au cours des des devises augmente 6 Ă  12 prochains mois? Augmentation de l’instabilitĂ© 37 % Il n’est pas surprenant que, lorsque les sociĂ©tĂ©s qui examinent les politique mondiale et rĂ©gionale principaux risques auxquels elles font face, les problĂšmes gĂ©opolitiques Accroissement de la volatilitĂ© des prix incessants, que ce soit en Europe de l’Est ou au Moyen-Orient, des produits de base et des devises 35 % constituent la principale prĂ©occupation pour la majoritĂ© d’entre elles. Situation Ă©conomique Ce qui surprend, et qui n’avait peut-ĂȘtre pas Ă©tĂ© prĂ©vu aussi rĂ©cemment dans la zone euro 10 % qu’il y a six mois, c’est que la chute marquĂ©e des prix des produits de base et la volatilitĂ© croissante des devises sont devenues des sujets Contexte rĂ©glementaire 9 % d’inquiĂ©tude majeurs. Ces problĂšmes sont au deuxiĂšme rang des risques Ralentissement de la croissance sur d’entreprise, tout juste derriĂšre les perturbations gĂ©opolitiques. À plus les principaux marchĂ©s Ă©mergents 7 % long terme, les politiques monĂ©taires divergentes pourraient accroĂźtre la volatilitĂ© des devises et, avec les prĂ©occupations gĂ©opolitiques, nuire Ă  DĂ©ïŹ‚ation 2 % la capacitĂ© des cadres supĂ©rieurs de planifier l’avenir. 0 5 10 15 20 25 30 35 40 BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 3

StratĂ©gie d’entreprise La rĂ©duction des coĂ»ts demeure une prioritĂ©. Cependant, dans un monde qui Ă©volue rapidement, les sociĂ©tĂ©s mettent en Ɠuvre des stratĂ©gies de croissance novatrices pour amĂ©liorer leur position sur le marchĂ©. 76% des entreprises favorisent les stratĂ©gies de croissance internes novatrices 4 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

StratĂ©gie d’entreprise La surveillance rigoureuse des coĂ»ts Q : Quel Ă©noncĂ© dĂ©crit le mieux l’orientation de votre au quotidien fait dĂ©sormais partie de organisation au cours des 12 prochains mois? la stratĂ©gie d’entreprise La discipline au chapitre des coĂ»ts est dĂ©sormais intĂ©grĂ©e Ă  l’ADN de 31 % 54 % 14 % 1 % l’entreprise, Ă  l’heure oĂč l’économie mondiale s’apprĂȘte Ă  tourner le Avr. 2015 dos Ă  la crise. Le contexte de faiblesse de la croissance et de l’inflation 40 % 37 % 17 % 6 % incite les cadres supĂ©rieurs Ă  contrĂŽler rigoureusement la structure de Avr. 2014 coĂ»ts, Ă©tant donnĂ© qu’il n’est pas facile de faire porter par les clients le 52 % 31 % 15 % 2 % fardeau de l’augmentation des dĂ©penses. À court terme, la nĂ©cessitĂ© de Avr. 2013 rĂ©duire les coĂ»ts est exacerbĂ©e par la volatilitĂ© accrue des devises et les fluctuations des prix des produits de base. Croissance RĂ©duction des Maintien de la stabilitĂ© Survie coĂ»ts et efïŹcacitĂ© opĂ©rationnelle Les stratĂ©gies internes novatrices permettent Q : Quel sera l’objectif principal de la croissance interne de de renforcer la position sur le marchĂ© votre entreprise au cours des 12 prochains mois? Puisque, de l’avis de la grande majoritĂ©, l’économie mondiale devrait Traditionnels s’amĂ©liorer, et compte tenu des forces perturbatrices qui influent sur 19 % tous les secteurs d’activitĂ©, les cadres supĂ©rieurs sont plus susceptibles Orientation plus soutenue de mettre en Ɠuvre des stratĂ©gies de croissance novatrices, comme vers les produits de base 24 % pĂ©nĂ©trer de nouveaux marchĂ©s, lancer de nouveaux services, et les marchĂ©s existants 30 % augmenter la R et D et tirer parti des avancĂ©es technologiques. Mais il importe de continuer d’accorder la prioritĂ© aux activitĂ©s 6 % Nouveaux circuits 11 % essentielles. La dĂ©finition d’«activitĂ©s essentielles» ne cesse toutefois de vente 19 % d’évoluer, Ă  mesure que les progrĂšs technologiques et les effets perturbateurs de la concurrence redĂ©finissent l’essence mĂȘme des activitĂ©s de l’entreprise. Les sociĂ©tĂ©s qui cherchent Ă  Ă©tendre leur prĂ©sence sur le marchĂ© et Ă  dĂ©fendre leur position concurrentielle Novateurs se doivent de protĂ©ger et de faire croĂźtre ces activitĂ©s essentielles en constante Ă©volution tout en saisissant les nouvelles possibilitĂ©s. Exploitation des technologies 24 % pour dĂ©velopper de nouveaux 15 % marchĂ©s / produits 16 % Augmentation de la R et D / 20 % lancement de produits 17 % 12 % ModiïŹcation de la gamme de 17 % produits et services existante 21 % La dĂ©finition d’«activitĂ©s 14 % Investissement dans de 14 % essentielles» ne cesse nouvelles rĂ©gions et 12 % d’évoluer. Les progrĂšs de nouveaux marchĂ©s 9 % technologiques et les Avr. 2013 Avr. 2014 Avr. 2015 effets perturbateurs de la concurrence redĂ©finissent l’essence mĂȘme des activitĂ©s de l’entreprise. BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 5

s Les changements fondamentaux qui s’opĂšrent Ă  l’échelle planĂ©taire refaçonnent les stratĂ©gies des entreprises Q : Laquelle de ces tendances influera le plus sur votre stratĂ©gie d’affaires de base ou votre stratĂ©gie d’acquisition au cours des 12 prochains mois? MarchĂ© mondial — Le dĂ©placement du pouvoir Ă©conomique vers l’est et vers le sud transforme les Ă©changes commerciaux et les modes d’investissement ActivitĂ©s 40 % StratĂ©gie 31 % essentielles d’acquisition Sur les principaux marchĂ©s Ă©mergents, au cours de la prochaine dĂ©cennie, l’accĂ©lĂ©ration de la croissance et le profil dĂ©mographique favorable devraient ĂȘtre des facteurs dĂ©terminants, Ă  mesure que le fossĂ© qui sĂ©pare les pays dĂ©veloppĂ©s et les marchĂ©s Ă©mergents continue de s’amenuiser et qu’une nouvelle catĂ©gorie de marchĂ©s Ă©mergents voit le jour, soutenue par l’émergence de la classe moyenne. De plus en plus, l’innovation fait sa marque sur les marchĂ©s Ă©mergents, avec l’Asie comme principal pĂŽle. ParallĂšlement, en raison du rythme de plus en plus effrĂ©nĂ© s mondiale de la course aux talents, les entreprises devront favoriser une plus grande diversitĂ© de l’effectif pour obtenir un avantage concurrentiel. e Les Ă©conomies du monde devraient demeurer trĂšs interdĂ©pendantes au chapitre des Ă©changes commerciaux, des investissements et des systĂšmes financiers, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© d’une meilleure coordination des politiques entre les nations et de la mise en place de chaĂźnes d’approvisionnement rĂ©silientes par les sociĂ©tĂ©s qui exercent leurs activitĂ©s dans ce contexte. En mĂȘme temps, les intĂ©rĂȘts nationaux continueront de s’opposer aux forces de l’intĂ©gration mondiale. Ces tendances auront une incidence sur la stratĂ©gie d’affaires de base et la stratĂ©gie d’acquisition des entreprises, peu importe oĂč elles se trouvent. Les cadres supĂ©rieurs doivent malgrĂ© tout tenir compte des activitĂ©s de l’entreprise, mais Ă©galement de la rĂ©gion dans laquelle ces activitĂ©s sont menĂ©es. MontĂ©e de l’entrepreneuriat — Pour progresser, les entrepreneurs de classe mondiale devront ĂȘtre plus soutenus par des Ă©cosystĂšmes ActivitĂ©s StratĂ©gie 38 % essentielles 11 % d’acquisition endanc Les entrepreneurs sont la locomotive de la croissance Ă©conomique mondiale, tant en leur qualitĂ© d’employeurs qu’en celle de fabricants de produits et de prestataires de services novateurs. Ils dĂ©veloppent des activitĂ©s en amont et en aval de la chaĂźne de valeur. La croissance et la prospĂ©ritĂ© de l’économie de tous les pays dĂ©veloppĂ©s et de tous les marchĂ©s Ă©mergents dĂ©pendent de la robustesse de l’activitĂ© entrepreneuriale. Bien qu’une partie de l’activitĂ© entrepreneuriale soit encore motivĂ©e par la nĂ©cessitĂ©, l’entrepreneuriat «influent», auparavant confinĂ© principalement sur les marchĂ©s Ă©tablis, est dĂ©sormais le moteur de l’expansion des marchĂ©s Ă©mergents. De fait, bon nombre d’entrepreneurs des marchĂ©s Ă©mergents crĂ©ent des entreprises Ă©volutives qui misent sur les besoins locaux et servent de modĂšle d’affaires. L’éveil de l’esprit entrepreneurial accĂ©lĂšre l’entrĂ©e de nouveaux participants dans des secteurs qui reposent sur la propriĂ©tĂ© intellectuelle, comme les secteurs des produits de consommation, des sciences de la vie et des technologies. Ce sont autant de dĂ©fis, mais Ă©galement de possibilitĂ©s pour les participants dĂ©jĂ  en place, Ă©tant donnĂ© que les MĂ©gat entreprises en dĂ©marrage novatrices sont souvent les cibles de l’activitĂ© de F&A. Avenir numĂ©rique — Les technologies perturbent tous les secteurs de l’entreprise, crĂ©ant des possibilitĂ©s et posant des dĂ©fis ActivitĂ©s StratĂ©gie 21 % essentielles 12 % d’acquisition Sous l’effet de la convergence des rĂ©seaux sociaux, des solutions mobiles, de l’informatique en nuage et des mĂ©gadonnĂ©es, et de la demande grandissante d’accĂšs partout et en tout temps, les technologies perturbent tous les secteurs de l’entreprise, dans l’ensemble des secteurs d’activitĂ© et des rĂ©gions. L’évolution de l’entreprise numĂ©rique pose Ă©galement des dĂ©fis importants : nouvelle concurrence, engagements des clients et modĂšles d’affaires en mutation, exigence de transparence sans prĂ©cĂ©dent, problĂšmes de protection des renseignements personnels et menaces pour la cybersĂ©curitĂ©. Les entreprises qui saisissent les possibilitĂ©s offertes par les avancĂ©es numĂ©riques ne peuvent qu’ĂȘtre gagnantes, tandis que celles qui ne le font pas courent le risque de tout perdre. Les relations entre les entreprises sont plus fluides, Ă©tant donnĂ© que les partenaires d’un mĂȘme rĂ©seau deviennent des concurrents dans un autre rĂ©seau. En rĂ©sumĂ©, tous ces changements d’ordre technologique pourraient rendre bien plus complexe la mise en Ɠuvre de la stratĂ©gie d’entreprise et des plans d’acquisition Ă  long terme et exiger que des dĂ©cisions soient prises rapidement. 6 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

L’efficacitĂ© opĂ©rationnelle est la principale prioritĂ© des conseils d’administration Q : Parmi les sujets suivants, lequel a montĂ© dans l’ordre des prioritĂ©s de votre conseil d’administration? ation DĂ©sinvestissement Remise de capital Fluctuations du prix stratĂ©gique aux actionnaires des produits de base tr (scission partielle ou PAPE) 2 % 3 % 6 % 18 % 31 % 40 % Activisme des Acquisition actionnaires RĂ©duction des coĂ»ts et amĂ©lioration des marges adminis Bien que les coĂ»ts et l’efficacitĂ© soient les principaux enjeux auxquels font face les membres des conseils d’administration, la rĂ©duction des coĂ»ts est en voie de devenir leur principale prioritĂ© Ă  court terme, en raison des fluctuations rĂ©centes des devises et du prix des produits de base. La rĂ©duction des coĂ»ts est Ă©galement au cƓur des prĂ©occupations des actionnaires activistes. Dans le prĂ©sent BaromĂštre, l’influence des activistes n’a pas grimpĂ© dans l’ordre des prioritĂ©s, Ă©tant donnĂ© qu’elle Ă©tait dĂ©jĂ  classĂ©e Ă  un niveau trĂšs Ă©levĂ©. Les acquisitions sont constamment sous la mire du conseil d’administration, les entreprises Ă©tant Ă  l’affĂ»t de transactions gĂ©nĂ©ratrices de valeur. Une corrĂ©lation marquĂ©e ressort de la comparaison des rĂ©ponses Ă  la question sur les prioritĂ©s du conseil eil d’ d’administration (ci-dessus) avec les rĂ©sultats de notre sondage (ci-aprĂšs) sur le programme Enjeu Capital — le cadre de travail d’EY pour aider les entreprises Ă  prendre des dĂ©cisions stratĂ©giques. L’optimisation est une prioritĂ© absolue en matiĂšre de capital, qui vient en premiĂšre place des prioritĂ©s de plus de la moitiĂ© des cadres supĂ©rieurs. Ce qui renforce l’idĂ©e que, mĂȘme si les perspectives de l’économie mondiale s’amĂ©liorent, les entreprises considĂšrent qu’il est essentiel qu’elles dĂ©tiennent un portefeuille efficace constituĂ© de façon rigoureuse pour demeurer concurrentielles et prĂ©server leurs positions. ons Financement : La structure du Investissement : Quelle est la meilleure capital de notre entreprise est-elle stratĂ©gie de croissance pour notre adĂ©quate quant Ă  la rĂ©alisation de entreprise? Cette stratĂ©gie est-elle nos prioritĂ©s stratĂ©giques? alignĂ©e sur nos activitĂ©s essentielles? Les entreprises qui affichent des bilans sains À l’heure actuelle, les entreprises mettent davantage l’accent sur la gestion sont en bonne position pour financer les I n v transactions – 30 % des cadres e rigoureuse des coĂ»ts et l’efficacitĂ© t s n t supĂ©rieurs prĂ©voient se concentrer e i opĂ©rationnelle – seulement 12 % des m s e s sur la mobilisation de capitaux. c e entreprises consacrent efforts et n m a e ressources principalement n n i t Ă  l’investissement. s du c F Ă© Enjeu Capital P n PrĂ©servation : Comment r Optimisation : Quelles Ă© o s i pouvons-nous amĂ©liorer e t mesures pouvons-nous prendre r a v s le rendement de nos actifs? a i pour maximiser la performance t m i i o t n p de notre capital? O Puisque les entreprises ne sont plus en mode survie, les cadres supĂ©rieurs ont C’est le principal volet du programme dĂ©laissĂ© la prĂ©servation du capital pour se Enjeu Capital – 58 % des cadres supĂ©rieurs tourner vers d’autres volets du programme prĂ©voient optimiser leur capital et continuent de Enjeu Capital. gĂ©rer leurs activitĂ©s avec rigueur. Priorit BBararomĂšomĂštrtre mondial de la ce mondial de la cononfiancfiance dee des ens entrtreprisepriseess || 77

Perspectives pour les F&A Le marchĂ© transactionnel, stimulĂ© par l’évolution du marchĂ© des F&A en 2014, soit la transition des mĂ©gatransactions Ă  la croissance rĂ©cente du marchĂ© intermĂ©diaire, a atteint des sommets inĂ©galĂ©s depuis la fin de la crise. Jusqu’à maintenant en 2015, le marchĂ© n’a cessĂ© de s’inscrire dans cette tendance, et les sociĂ©tĂ©s ont continuĂ© d’effectuer des transactions, y compris les entreprises en dĂ©marrage et celles qui ont dĂ©cidĂ© de sauter dans l’arĂšne aprĂšs ĂȘtre demeurĂ©es Ă  l’écart. 56% des entreprises prĂ©voient procĂ©der Ă  des acquisitions au cours des 12 prochains mois 8 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Perspectives pMo&uAr l oeuts Flo&oAk AprĂšs l’augmentation des F&A enregistrĂ©e en Q : Avez-vous modifiĂ© votre stratĂ©gie en matiĂšre de F&A 2014, de plus en plus d’entreprises confirment par suite de l’intensification de l’activitĂ© transactionnelle leur intention Ă  ce chapitre, Ă  mesure que en 2014? la croissance du marchĂ© se stabilise Oui, nous avons l’intention de rĂ©aliser des L’annĂ©e 2014 a Ă©tĂ© marquĂ©e par la plus forte augmentation du 22 % 31 % transactions relativement plus importantes nombre de fusions et d’acquisitions depuis la crise financiĂšre mondiale. Oui, nous avons l’intention de rĂ©aliser des Le regain de confiance dans l’économie mondiale devrait soutenir transactions dans divers sous-segments encore plus l’activitĂ© de F&A en 2015. Plus des trois quarts des cadres du secteur supĂ©rieurs ont l’intention d’intensifier leur activitĂ© transactionnelle 26 % Oui, nous envisageons de rĂ©aliser davantage au cours des 12 prochains mois. Qui plus est, bien que prĂšs du tiers 21 % d’acquisitions de moyennes entreprises ou des cadres supĂ©rieurs prĂ©voient effectuer des transactions plus d’entreprises ciblĂ©es importantes, les intentions en matiĂšre de transactions ciblĂ©es et Non, nous ne modiïŹerons pas notre stratĂ©gie complĂ©mentaires sont Ă©galement en hausse. actuelle en matiĂšre de transactions Le marchĂ© Ă©tant dĂ©jĂ  trĂšs actif, il n’est pas Ă©tonnant que le Q : Selon vous, comment Ă©voluera le marchĂ© des F&A au pourcentage de rĂ©pondants qui s’attendent Ă  ce que l’activitĂ© de F&A cours des 12 prochains mois? demeure stable au cours des 12 prochains mois soit en progression et corresponde Ă  celui des rĂ©pondants qui anticipent que le marchĂ© 49 % s’amĂ©liorera. Compte tenu de la soliditĂ© des intentions en matiĂšre En amĂ©lioration 58 % d’acquisitions, cette stabilitĂ© accrue devrait servir d’assise Ă  une 73 % croissance durable sur le marchĂ© des F&A. 49 % Stable 36 % 23 % 2 % En dĂ©tĂ©rioration 6 % 4 % Avr. 2013 Avr. 2014 Avr. 2015 Plus de la moitiĂ© des entreprises ont Q : Vous attendez-vous Ă  ce que votre entreprise l’intention de rĂ©aliser une acquisition s’engage activement dans des acquisitions au cours des 12 prochains mois? Pour la premiĂšre fois depuis 2010, plus de la moitiĂ© de nos rĂ©pondants ont l’intention de rĂ©aliser une acquisition pendant les 56 % 56 % 12 mois Ă  venir. Le climat Ă©conomique soutenant largement les F&A, notre sondage rĂ©vĂšle un certain nombre de raisons Ă  cette hausse marquĂ©e des intentions en matiĂšre d’acquisitions. 40 % 40 % Les nouveaux joueurs, des entreprises en dĂ©marrage et des sociĂ©tĂ©s 35 % 35 % 31 % 31 % qui font un retour sur le marchĂ©, viennent gonfler les volumes de 29 % 29 % transactions. Par ailleurs, les conditions Ă©conomiques mondiales divergentes accĂ©lĂšrent la conclusion de F&A transfrontaliĂšres. Il est probable, notamment, que les programmes d’assouplissement quantitatif mis en Ɠuvre dans la zone euro feront grimper les Ă©valuations des sociĂ©tĂ©s, mĂȘme si la dĂ©prĂ©ciation de l’euro et la Avr. 2013 Oct. 2013 Avr. 2014 Oct. 2014 Avr. 2015 chute du prix du pĂ©trole rendent les actifs de cette rĂ©gion bien plus Avr. 2013 Oct. 2013 Avr. 2014 Oct. 2014 Avr. 2015 attrayants. De plus, les effets perturbateurs de l’innovation, comme la convergence accrue et l’abolition des frontiĂšres sectorielles, crĂ©ent des possibilitĂ©s d’activitĂ© transactionnelle Ă  chaque niveau de l’entreprise. La chaĂźne d’approvisionnement, les canaux de ProbabilitĂ© de 37 % 37 % distribution et l’infrastructure d’arriĂšre-guichet sont tous touchĂ©s ProbabilitĂ© de clĂŽture des 44 % 44 % par l’innovation, et les F&A constituent souvent le meilleur moyen de clĂŽture des acquisitions conserver ou d’obtenir un avantage concurrentiel. acquisitions 32 % 32 % La qualitĂ© plus Ă©levĂ©e des cibles potentielles et leur plus grand QualitĂ© des 46 % 46 % QualitĂ© des possibilitĂ©s 51 % 51 % nombre sont les deux autres ingrĂ©dients nĂ©cessaires Ă  la crĂ©ation possibilitĂ©s d’acquisition d’un climat favorable pour les F&A. De trĂšs nombreux actifs sont d’acquisition 41 % 41 % disponibles sur le marchĂ©, du fait que les entreprises de capital- investissement vendent enfin des actifs qu’elles dĂ©tiennent depuis Nombre des 69 % 69 % Nombre des possibilitĂ©s longtemps et que le nombre d’entreprises faisant l’objet d’un possibilitĂ©s 58 % 58 % d’acquisition morcellement a augmentĂ©. En outre, les cibles sont de meilleure d’acquisition 51 % 51 % qualitĂ©, du fait du contexte d’affaires plus favorable et du maintien des programmes de gestion des coĂ»ts et d’amĂ©lioration des marges. Avr. 2014 Oct. 2014 Avr. 2015 Avr. 2014 Oct. 2014 Avr. 2015 BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 9

Perspectives pour les F&A Les nouveaux joueurs sur le marchĂ© accĂ©lĂšrent la croissance des pipelines Les entreprises prĂ©voient conclure un Q : Combien d’acquisitions vous attendez-vous Ă  conclure plus grand nombre d’acquisitions au cours des 12 prochains mois? PrĂšs de la moitiĂ© des cadres supĂ©rieurs prĂ©voient que leur >=5 7 % entreprise rĂ©alisera davantage de transactions au cours des 12 prochains mois que l’an dernier. Selon la majoritĂ© d’entre 4 4 % eux, le nombre total de transactions sera relativement bas, soit 3 10 % une ou deux acquisitions. D’aprĂšs une analyse des prĂ©visions 2 36 % de transactions et des donnĂ©es historiques sur les transactions rĂ©alisĂ©es, bon nombre de ces nĂ©gociateurs travaillent pour une 1 43 % entreprise qui est un nouveau joueur et qui fait un retour sur le Nombre d’acquisitions marchĂ© aprĂšs ĂȘtre restĂ©e Ă  l’écart. Ces entreprises contribueront Ă  accroĂźtre l’activitĂ© transactionnelle en 2015, comme elles l’ont fait en 2014. Les pipelines de F&A demeurent sains, et Q : Ce nombre correspond-il plus ou moins au nombre le bassin de nĂ©gociateurs s’étend d’acquisitions conclues au cours des 12 derniers mois? Les pipelines de transactions sont un indicateur clĂ© de l’état 3 % du marchĂ© des F&A et mettent en contexte la maniĂšre dont les Augmentation entreprises envisagent les possibilitĂ©s et se prĂ©parent en vue de la croissance. Au total, nos rĂ©pondants prĂ©voient rĂ©aliser quelque Pas de changement 2 695 transactions, une augmentation considĂ©rable de 19 % par 47 % Diminution rapport aux transactions des 12 derniers mois, signe de la santĂ© fondamentalement bonne des marchĂ©s transactionnels. 50 % La croissance des pipelines de plus grande envergure devrait reprendre Les entreprises qui ont les pipelines les plus importants aujourd’hui sont celles qui ont le plus l’intention d’augmenter la taille de leur Q : Combien de transactions avez-vous actuellement pipeline au cours des 12 mois Ă  venir. Comme les entreprises dans votre pipeline? privilĂ©gient les transactions plus novatrices qui leur permettront de s’orienter vers des activitĂ©s connexes ou des activitĂ©s complĂ©mentaires, elles examineront tout naturellement un plus Nombre de transactions grand nombre de cibles potentielles. 2 695 2 273 0 20 40 60 80 100 Comme les entreprises Avr. 2014 Avr. 2015 privilĂ©gient les transactions Selon vos prĂ©visions, dans quel sens Ă©voluera votre novatrices qui leur Q : pipeline de transactions au cours des 12 prochains mois? permettent de s’orienter Analyse de corrĂ©lation entre la taille du pipeline actuel et vers des activitĂ©s connexes la taille prĂ©vue Nombre de transactions ou complĂ©mentaires, >=5 3% 36 % 61 % elles examineront tout 4 2%35 % 63 % 3 10% 33 % 57 % naturellement un plus grand 2 28% 20 % 52 % nombre de cibles potentielles. 1 71% 16 % 13 % Augmentation prĂ©vue au cours des 12 prochains mois Diminution Pas de changement Augmentation 10 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Perspectives pMo&uAr l oeuts Flo&oAk Les Ă©valuations favorisent l’activitĂ© transactionnelle PossibilitĂ© de pressions Ă  la hausse sur Q : Selon vous, les attentes des acheteurs les prix des actifs, mais le marchĂ© des F&A correspondent-elles actuellement Ă  celles des vendeurs devrait rĂ©sister (Ă©cart d’évaluation)? Des marchĂ©s boursiers Ă  des sommets historiques, des marchĂ©s des 2 % 6 % F&A qui se renforcent et une amĂ©lioration de l’économie mondiale Écart beaucoup plus grand (25 % ou plus) ont tous ravivĂ© la concurrence dans la course aux actifs. Dans ce Écart un peu plus grand (10 % Ă  25 %) contexte, il n’est pas Ă©tonnant que la plupart des cadres supĂ©rieurs 39 % 53 % Écart mince (moins de 10 %) constatent un Ă©largissement de l’écart d’évaluation. Pour une nette Aucun Ă©cart majoritĂ©, cet Ă©cart n’est toutefois qu’un peu plus grand – signe que les marchĂ©s transactionnels se portent bien sans surchauffer. Et surtout, une immense majoritĂ© prĂ©voit que l’écart d’évaluation et le prix des actifs demeureront stables au cours des 12 prochains mois, crĂ©ant ainsi une conjoncture favorable aux transactions. L’une des rĂ©gions oĂč les Ă©valuations augmenteront probablement est la zone euro, en raison de son nouveau programme Q : Selon vous, dans quel sens Ă©voluera l’écart d’évaluation d’assouplissement quantitatif. Cependant, bien que des pressions entre les acheteurs et les vendeurs au cours Ă  la hausse sur les Ă©valuations y soient attendues, d’autres des 12 prochains mois? facteurs, comme les taux de change et la baisse des prix du pĂ©trole, devraient attĂ©nuer tout effet nĂ©gatif important sur les F&A. 4 % 18 % Moins grand Le mĂȘme 78 % Plus grand Q : Selon vous, dans quel sens Ă©volueront les prix ou les Ă©valuations d’actifs au cours des 12 prochains mois? 17 % Augmentation 5 % Pas de changement 78 % Diminution Une immense majoritĂ© prĂ©voit que l’écart d’évaluation et le prix des actifs demeureront stables au cours des 12 prochains mois, crĂ©ant ainsi une conjoncture favorable aux transactions. BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 11

Ă© Les cyberattaques : un risque grandissant pour le marchĂ© des F&A en train de rebondir Q : Avec lequel des Ă©noncĂ©s suivants ĂȘtes-vous le plus d’accord? urit 2 % Nous resserrons nos mesures pour nous protĂ©ger contre 12 % les intrusions possibles dans notre processus de F&A. Nous sommes plus prĂ©occupĂ©s par la cybersĂ©curitĂ© 45 % d’acquisitions prĂ©vues ou de cibles qu’il y a 12 mois. 41 % Nous sommes plus prĂ©occupĂ©s par l’incidence commerciale des intrusions possibles qu’il y a 12 mois. Au cours des 12 derniers mois, nous avons dĂ©cidĂ© de Ă©c nous retirer d’un processus d’acquisition en raison s de problĂšmes de cybersĂ©curitĂ©. Les transactions sont une cible de choix pour les cyberattaques. Dans le contexte transactionnel d’aujourd’hui, le rebondissement du marchĂ© des F&A, combinĂ© avec la forte dĂ©pendance aux technologies et aux actifs numĂ©riques, vient augmenter le risque de cyberattaque. Plus que jamais, un solide processus d’attĂ©nuation des cybermenaces s’impose pour toutes les entreprises. Les cyberattaques sont un risque d’entreprise fondamental et non pas une simple prĂ©occupation du service des technologies de l’information. Les incidences d’une cyberattaque Les risques d’une cyberattaque pour l’entreprise comprennent le vol de R et D et de propriĂ©tĂ© intellectuelle, une fraude financiĂšre et une atteinte Ă  la rĂ©putation. Les perturbations causĂ©es par une attaque peuvent se propager au-delĂ  de l’entreprise elle-mĂȘme jusque dans le secteur et yber l’ensemble du marchĂ©. Dans le cas des F&A en particulier, les systĂšmes des entreprises peuvent ĂȘtre piratĂ©s ou compromis pendant le processus transactionnel, pour en extraire de l’information privilĂ©giĂ©e. L’un des risques Ă©vidents rĂ©side dans la manipulation du cours de l’action et du processus transactionnel. Un risque C moins Ă©vident, mais tout aussi important, est la possibilitĂ© d’obtenir de l’information stratĂ©gique susceptible d’ĂȘtre utilisĂ©e pour perturber les activitĂ©s essentielles de l’entreprise et nuire Ă  sa position concurrentielle. L’identification du risque est l’étape clĂ© pour pouvoir le gĂ©rer Le processus de F&A centralise la stratĂ©gie d’une organisation et l’information sur toutes ses fonctions en un seul rĂ©fĂ©rentiel. Cette situation reprĂ©sente un cyberrisque unique qu’il faut gĂ©rer. L’une des meilleures façons de gĂ©rer le cyberrisque pendant le processus de F&A consiste Ă  dĂ©terminer de maniĂšre proactive qui peut cibler l’organisation – et quelle information cherche- t-on Ă  voler. En identifiant ces menaces, les entreprises doivent considĂ©rer non seulement les pirates potentiels de l’extĂ©rieur de l’organisation, mais aussi les entitĂ©s qui ont un accĂšs autorisĂ© Ă  son rĂ©fĂ©rentiel, comme ses fournisseurs de la chaĂźne d’approvisionnement et de distribution ainsi que d’autres partenaires commerciaux. MĂȘme l’entreprise cible dans une transaction de F&A pourrait reprĂ©senter une menace parce qu’une faiblesse de son programme de sĂ©curitĂ© pourrait ĂȘtre exploitĂ©e. Une fois ces risques identifiĂ©s, des mesures prĂ©ventives peuvent ĂȘtre prises pour les rĂ©duire. 12 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Perspectives pMo&uAr l oeuts Flo&oAk Les nĂ©gociateurs recherchent l’innovation Des forces perturbatrices enclenchent Q : Vous prĂ©voyez surtout les activitĂ©s de F&A suivantes : des transactions L’innovation, des forces perturbatrices, l’embrouillement de Investissement novateur (qui change leurs propres dĂ©finitions claires du secteur et les mĂ©gatendances 21 % la portĂ©e de votre entreprise – peut-ĂȘtre mondiales se conjuguent pour alimenter les F&A. En rĂ©ponse, les dans un autre secteur) entreprises se font plus audacieuses pour modifier la portĂ©e de 6 % 73 % Acquisition ciblĂ©e (qui complĂšte leurs activitĂ©s et maintenir leur avantage concurrentiel. le modĂšle d’affaires actuel) Par consĂ©quent, prĂšs des trois quarts des cadres supĂ©rieurs Acquisition transformatrice (acquisition qui envisagent des transactions reluquent ces investissements de grande valeur qui modiïŹe beaucoup novateurs plutĂŽt que des transactions ciblĂ©es ou transformatrices. la taille et la portĂ©e de votre entreprise) De plus en plus, les entreprises apprennent Ă  prĂ©voir les enjeux futurs entourant leur modĂšle d’affaires et recourent Ă  des acquisitions comme moyen d’accĂ©lĂ©rer leur rĂ©ponse. Q : Combien de capital comptez-vous allouer aux AccĂ©lĂ©ration des F&A sur le marchĂ© acquisitions au cours des 12 prochains mois? intermĂ©diaire supĂ©rieur Pour ce qui est de la taille prĂ©vue des transactions, les transactions plus modestes sur le marchĂ© intermĂ©diaire – les transactions 20 % 3 % infĂ©rieures Ă  250 M$ US – continuent de dominer les plans des cadres supĂ©rieurs. La vigueur soutenue de cette catĂ©gorie tient au Jusqu’à 250 M$ US grand nombre d’acquĂ©reurs plus modestes, mais plus innovateurs 77 % De 251 M$ US Ă  1 G$ US qui accĂšdent au marchĂ©. Cependant, depuis le numĂ©ro prĂ©cĂ©dent du BaromĂštre, ce sont les transactions sur le marchĂ© intermĂ©diaire Plus de 1 G$ US supĂ©rieur qui ont connu la plus forte croissance, celles se situant entre 250 M$ US et 1 G$ US. Cette catĂ©gorie a augmentĂ© de 50 %. Bien que les mĂ©gatransactions vedettes – la catĂ©gorie dominante Quelle est la taille de votre transaction la plus en 2013 et au dĂ©but de 2014 – n’aient pas entiĂšrement quittĂ© Q : importante prĂ©vue au cours des 12 prochains mois? le marchĂ©, nos rĂ©pondants confirment que les transactions de plus de 1 G$ US ne reprĂ©sentent plus qu’une faible proportion de leur activitĂ©. 21 % 2 % Jusqu’à 250 M$ US Les transactions infĂ©rieures 77 % De 251 M$ US Ă  1 G$ US Ă  250 M$ US continuent de Plus de 1 G$ US dominer les plans des cadres supĂ©rieurs. Cependant, depuis le numĂ©ro prĂ©cĂ©dent du BaromĂštre, ce sont les transactions sur le marchĂ© intermĂ©diaire supĂ©rieur qui ont connu la plus forte croissance, celles se situant entre 250 M$ US et 1 G$ US. BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 13

s De nombreuses entreprises bien Ă©tablies concluent des transactions impliquant des «programmes lunaires», c’est-Ă -dire des technologies susceptibles d’amener un changement spectaculaire et des rendements en proportion, comme orielle l’«Internet des objets» et la rĂ©alitĂ© virtuelle. ect s s e spectiv er P 14 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Perspectives pour les F&A Excellentes dispositions Ă  l’égard des transactions dans bien des secteurs La recherche de propriĂ©tĂ© intellectuelle et de marques bien Ă©tablies anime les meilleurs secteurs, qui effectuent allĂšgrement des transactions. Les pourcentages indiquent la proportion de rĂ©pondants qui entendent procĂ©der activement Ă  des acquisitions au cours des 12 prochains mois. 67 % 59 % Technologie Automobile La course aux actifs se resserre dans les domaines de la mobilitĂ© L’optimisme renouvelĂ© dans le secteur automobile – amenĂ© par intelligente, de l’informatique en nuage, du rĂ©seautage social, de l’augmentation des ventes Ă  la fois sur les marchĂ©s dĂ©veloppĂ©s et l’analyse des mĂ©gadonnĂ©es et de l’adaptation accĂ©lĂ©rĂ©e et nourrit les marchĂ©s Ă©mergents et un mouvement gĂ©nĂ©ral pour diminuer les les F&A technologiques. De plus, certaines entreprises bien Ă©tablies coĂ»ts et amĂ©liorer l’efficience – favorise l’intensification de l’activitĂ© concluent des transactions impliquant des «programmes lunaires», transactionnelle. Un nombre important de transactions se concentrent c’est-Ă -dire des technologies susceptibles d’amener un changement sur l’acquisition de technologies Ă©mergentes, comme les automobiles spectaculaire et des rendements en proportion, comme l’«Internet sans conducteur et les matĂ©riaux de pointe. des objets» et la rĂ©alitĂ© virtuelle. 58 % 53 % Produits de consommation et commerce de dĂ©tail Produits industriels diversifiĂ©s Les entreprises de produits de consommation ont davantage ciblĂ© Comme la croissance dans le secteur des produits industriels est des activitĂ©s sur des marchĂ©s Ă©tablis. Faute de vastes possibilitĂ©s de habituellement liĂ©e au PIB, des F&A sont nĂ©cessaires pour obtenir des croissance, elles visent l’efficience opĂ©rationnelle en procĂ©dant Ă  des rendements supĂ©rieurs Ă  ceux du marchĂ©. Plus particuliĂšrement, le recul dĂ©sinvestissements stratĂ©giques. L’optimisation du portefeuille Ă©merge de l’euro renforcera probablement l’attrait des actifs de grande qualitĂ© comme un thĂšme crucial, suscitant des transactions stratĂ©giques Ă  d’entreprises d’Europe du Nord ayant un riche portefeuille de propriĂ©tĂ© la suite des pressions de plus en plus fortes des investisseurs sur les intellectuelle, surtout les PME (Mittelstand) en Allemagne, en Suisse entreprises pour qu’elles crĂ©ent de la valeur pour les actionnaires. Les et en Autriche, la demande provenant des États-Unis, de la Chine et acteurs importants du secteur des produits de consommation optimisent du Japon. leur portefeuille de marques et leur prĂ©sence sur le marchĂ© en se Dans ce contexte de faible croissance, la gestion de portefeuille dĂ©partissant de leurs activitĂ©s non essentielles et Ă  faible croissance continuera de retenir une grande attention, surtout chez ceux qui sont et en redirigeant leurs investissements vers l’acquisition ou l’expansion touchĂ©s par la rĂ©cente instabilitĂ© des prix de l’énergie. La rĂ©duction des d’activitĂ©s Ă  croissance rapide et Ă  marges Ă©levĂ©es. coĂ»ts demeure un impĂ©ratif pour ces entreprises, en raison des pressions sur la croissance du chiffre d’affaires. 49 % Services financiers Les marges de taux d’intĂ©rĂȘt comprimĂ©es et les pressions sur le capital rĂ©glementaire dans le secteur des banques et des marchĂ©s financiers peuvent donner lieu Ă  d’autres regroupements dans le secteur et Ă  des ventes d’actifs. Nous nous attendons Ă©galement Ă  voir se maintenir l’intĂ©rĂȘt pour les segments des services financiers spĂ©cialisĂ©s et les technologies financiĂšres. Les sociĂ©tĂ©s d’assurance cherchent Ă  amĂ©liorer la structure globale de leurs activitĂ©s et de leur bilan en prĂ©vision de SolvabilitĂ© II. Pendant ce temps, les rĂ©assureurs cherchent Ă  accroĂźtre et amĂ©liorer la valeur pour les investisseurs. Le contexte actuel fait des acquisitions une option intĂ©ressante. La prĂ©sence internationale est devenue une prioritĂ© de plus en plus importante pour les gestionnaires d’actifs et de patrimoine. Puisque les marchĂ©s mondiaux en sont Ă  des cycles Ă©conomiques diffĂ©rents, les investisseurs s’attendent Ă  ce que les gestionnaires d’actifs accĂšdent Ă  des rendements du capital investi lĂ  oĂč se trouvent les possibilitĂ©s. BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 15

Perspectives pour les F&A Les nĂ©gociateurs regardent au-delĂ  de leurs frontiĂšres, mais pas trop loin de chez eux Les cadres supĂ©rieurs disent avoir des attentes plutĂŽt faibles Q : Quelle est la principale cible de votre stratĂ©gie de F&A Ă  l’égard des F&A dans leur pays. À seulement 16 % des au cours des 12 prochains mois? transactions prĂ©vues, cette rĂ©ponse est bien en deçà de la moyenne historique. Plus des quatre cinquiĂšmes de nos rĂ©pondants recherchent des transactions Ă  l’étranger. L’un des principaux moteurs de cette recherche de possibilitĂ©s 16 % RĂ©gion immĂ©diate (pays proches) transfrontiĂšres rĂ©side dans le fait que les entreprises exploitent À l’extĂ©rieur du marchĂ© national / les performances Ă©conomiques diffĂ©rentes d’un pays et d’une 54 % de la rĂ©gion immĂ©diate rĂ©gion Ă  l’autre. Le lieu oĂč l’entreprise exerce ses activitĂ©s est MarchĂ© national (pays d’origine) maintenant tout aussi important que les segments ou secteurs 30 % dans lesquels elle Ă©volue. Les entreprises qui entreprennent un examen approfondi de leur portefeuille se tournent souvent vers des rĂ©gions qui comblent des lacunes ou qui sont mĂ»res pour un changement. La plus grande proportion de cadres supĂ©rieurs – plus de la moitiĂ© – orientent leur stratĂ©gie de F&A sur les transactions transfrontaliĂšres de leur rĂ©gion immĂ©diate, car il est facile d’effectuer des transactions dans des rĂ©gions appliquant des rĂšgles Ă©conomiques communes. Cette intention de faire des acquisitions prĂšs de chez eux est Ă©galement motivĂ©e par la familiaritĂ© avec les milieux d’investissement des pays adjacents, ce qui facilite les F&A transfrontaliĂšres. Cependant, une minoritĂ© non nĂ©gligeable de rĂ©pondants – prĂšs du tiers – prĂ©voient des transactions plus Ă©loignĂ©es, ce qui tĂ©moigne de l’interconnexion grandissante dans l’économie mondiale. L’Europe de l’Est devrait mener le flux des transactions transfrontaliĂšres, et l’Asie-Pacifique devrait garder son attrait. Q : Quelles sont les principales destinations oĂč votre entreprise est la plus susceptible d’investir au cours des 12 prochains mois? Europe Europe de l’Est de l’Ouest AmĂ©rique Asie- du Nord Pacifique Afrique et Moyen- Orient MarchĂ© de la rĂ©gion immĂ©diate À l’extĂ©rieur du AmĂ©rique marchĂ© national latine MarchĂ© national Destination prĂ©fĂ©rĂ©e principale* * Les rĂ©pondants ont Ă©tĂ© sondĂ©s sur leurs cinq principales destinations d’investissement : le graphique ci-dessus indique la grande prĂ©fĂ©rence de chaque rĂ©gion. 16 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Perspectives pour les F&A Les capitaux rĂ©servĂ©s pour des acquisitions sont dirigĂ©s surtout vers les marchĂ©s dĂ©veloppĂ©s et de grands marchĂ©s Ă©mergents Les entreprises prĂ©voient investir la majoritĂ© de leurs capitaux rĂ©servĂ©s pour des acquisitions sur les marchĂ©s dĂ©veloppĂ©s, qui leur procureront une meilleure croissance Ă  court terme. Les marchĂ©s Ă©mergents demeurent importants Ă  long terme, mais l’activitĂ© en matiĂšre d’acquisitions sur ces marchĂ©s demeurera probablement inchangĂ©e au cours des 12 prochains mois. La reprise Ă©ventuelle sur les principaux marchĂ©s dĂ©veloppĂ©s, surtout dans la zone euro, influe Ă©galement sur la stratĂ©gie de F&A. 1. Royaume-Uni 2. Chine 3. États-Unis 4. Allemagne 5. Australie 6. Inde 7. France 8. Japon 9. Singapour 10. Pays-Bas La popularitĂ© de l’Europe de l’Ouest comme destination Q : Quel pourcentage de vos capitaux rĂ©servĂ©s pour des F&A transfrontaliĂšres devrait se maintenir, car la des acquisitions allez-vous investir sur les marchĂ©s Banque centrale europĂ©enne dĂ©marre son programme Ă©mergents au cours des 12 prochains mois? d’assouplissement quantitatif, qui vise Ă  injecter des liquiditĂ©s de plus de 1 100 G€ dans la rĂ©gion. Le programme permet dĂ©jĂ  d’abaisser la valeur relative de l’euro. Selon Plus de 50 % 3 % nos prĂ©visions, nous assisterons Ă  une accĂ©lĂ©ration des transactions avec des entreprises europĂ©ennes, plus 25 % Ă  50 % 1 % particuliĂšrement de la part d’acquĂ©reurs de Chine, du Japon et des États-Unis. Notre sondage rĂ©vĂšle Ă©galement que des entreprises 10 % Ă  25 % 31 % partout dans le monde ont la ferme intention de participer Moins de 10 % 61 % Ă  la croissance asiatique, surtout celles d’Europe de l’Ouest. Une tendance correspondante est l’intention des entreprises 0 % 4 % d’Asie-Pacifique de faire des acquisitions Ă  l’extĂ©rieur de leur marchĂ© national et de leur rĂ©gion immĂ©diate – des actifs 0 10 20 30 40 50 60 70 80 en Europe de l’Ouest intĂ©ressent tout particuliĂšrement les entreprises d’Asie-Pacifique, surtout celles de CorĂ©e du Sud et de Chine. BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 17

Perspectives pour les F&A Les principaux marchĂ©s des F&A et leurs caractĂ©ristiques Chine Allemagne Inde Principaux investisseurs 1. Chine 1. Allemagne 1. Inde 2. Japon 2. Chine 2. Japon 3. États-Unis 3. États-Unis 3. Chine Principales destinations 1. Chine 1. Allemagne 1. Inde 2. Australie 2. Royaume-Uni 2. Royaume-Uni 3. Royaume-Uni 3. États-Unis 3. Afrique du Sud MalgrĂ© les manchettes sur son rĂ©cent L’Allemagne est la lueur d’espoir dans Vu la confiance des investisseurs dans ralentissement Ă©conomique, la Chine une zone euro autrement en dĂ©clin. Les une nette reprise en Inde et les sommets continentale reste une destination trĂšs rĂ©centes donnĂ©es Ă©conomiques et les historiques qu’atteignent les marchĂ©s boursiers, attrayante en raison de ses niveaux de enquĂȘtes PMI (indice des acheteurs) le marchĂ© transactionnel du pays devrait croissance qui demeurent trĂšs solides indiquent une accĂ©lĂ©ration de la s’amĂ©liorer. La position pro-entreprises du en regard de l’économie mondiale. Le croissance, mais encore relativement nouveau gouvernement indien devrait crĂ©er un gouvernement chinois vise maintenant une faible par rapport aux moyennes climat plus favorable pour les investissements croissance annuelle de 7 %, en recul par historiques. Les actifs de grande qualitĂ© Ă©trangers – le budget annuel dĂ©posĂ© rapport aux taux de croissance prĂ©cĂ©dents des entreprises allemandes, surtout dans rĂ©cemment est centrĂ© sur une augmentation de 10 %. Cependant, on ne s’attend pas Ă  les secteurs des produits industriels, des des dĂ©penses d’infrastructure et une diminution un atterrissage brutal ou Ă  une dĂ©cĂ©lĂ©ration produits chimiques et de l’automobile, des impĂŽts des sociĂ©tĂ©s pour stimuler la beaucoup plus importante. Par suite du attirent dĂ©jĂ  des acquĂ©reurs Ă©trangers, croissance – et les perspectives Ă©conomiques rééquilibrage Ă©conomique de la politique et une dĂ©prĂ©ciation de l’euro promet de sont de plus en plus prometteuses, sans officielle chinoise, d’autres possibilitĂ©s les rendre relativement moins chers. Ce compter les dĂ©veloppements Ă©conomiques d’investissement devraient s’ouvrir pour les sont probablement la Chine, le Japon de plus en plus positifs qui se dessinent Ă  investisseurs Ă©trangers. La banque centrale et les États-Unis qui se disputeront plus l’horizon. La faiblesse des prix du pĂ©trole aidera a encore une fois abaissĂ© les taux d’intĂ©rĂȘt particuliĂšrement ces actifs. Quant aux F&A Ă  rĂ©duire la facture des importations du pays pour stimuler l’économie, crĂ©ant ainsi un en sol allemand, les acquisitions par des et le dĂ©ficit de son compte courant. Le repli de environnement plus favorable pour les F&A. entreprises allemandes ont toujours Ă©tĂ© l’inflation et l’assouplissement de la politique Le gouvernement a Ă©galement introduit des centrĂ©es sur le marchĂ© national, mais nous monĂ©taire devraient encourager les dĂ©penses mesures pour encourager les acquisitions commençons Ă  voir une augmentation des mĂ©nages et les investissements. Vu de Ă  l’étranger par des entreprises chinoises, des acquisitions transfrontaliĂšres, surtout l’extĂ©rieur, la confiance des investisseurs Ă  ciblant surtout les entreprises possĂ©dant aux États-Unis. l’échelle mondiale dans l’Inde est actuellement des actifs de propriĂ©tĂ© intellectuelle dans le trĂšs grande, plus qu’en d’autres pays secteur industriel et les technologies. Ă©mergents, ce qui devrait Ă©galement stimuler la croissance. Principaux secteurs MĂ©dias et Automobile TĂ©lĂ©communica- Services Produits Produits de Automobile Produits de Services divertissements tions financiers industriels consommation consommation financiers diversifiĂ©s et commerce et commerce de dĂ©tail de dĂ©tail 18 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

Perspectives pour les F&A Japon Royaume-Uni États-Unis Principaux investisseurs 1. Japon 1. Royaume-Uni 1. Japon 2. CorĂ©e du Sud 2. Australie 2. France 3. Chine 3. Japon 3. Chine Principales destinations 1. Chine 1. Royaume-Uni 1. Chine 2. Royaume-Uni 2. Pays-Bas 2. Allemagne 3. Japon 3. Singapour 3. États-Unis Plus de 20 ans de difficultĂ©s Ă©conomiques Depuis longtemps, le Royaume-Uni est une Le marchĂ© des F&A aux États-Unis devrait aprĂšs sa «dĂ©cennie perdue», le Japon destination prisĂ©e des entreprises Ă©trangĂšres maintenir son mouvement Ă  la hausse et souffre encore de la faible croissance dĂ©sireuses d’accĂ©der au grand marchĂ© demeurer attrayant pour les investisseurs de son Ă©conomie nationale combinĂ©e de l’Union europĂ©enne. GrĂące Ă  une forte Ă©trangers. Les bases positives de avec la persistance d’une faible inflation. croissance nationale en 2014, Ă  des niveaux l’économie amĂ©ricaine, des marchĂ©s Cependant, les rĂ©centes dĂ©cisions semblables prĂ©vus en 2015 et Ă  un souci boursiers records et un contexte de faibles politiques du gouvernement et de de rĂ©duire les formalitĂ©s administratives, taux d’intĂ©rĂȘt concourent Ă  renforcer la la Banque du Japon ont renforcĂ© la le Royaume-Uni devrait ĂȘtre en mesure de confiance des conseils d’administration. dĂ©termination des responsables de la maintenir sa situation unique de centre mondial Les entreprises amĂ©ricaines continuent politique Ă©conomique de rĂ©soudre la des F&A. Parmi les entreprises du pays le plus d’afficher une performance exceptionnelle question. La rĂ©cente combinaison des prix susceptibles de s’engager dans des F&A, celles – la majoritĂ© des entreprises du S&P 500 du pĂ©trole en baisse et des amĂ©liorations des sciences de la vie et des technologies dĂ©passent les estimations des rĂ©sultats lentes, mais rĂ©guliĂšres de la confiance sont des innovateurs redoutables, celles des et des chiffres d’affaires de 2014 – des consommateurs et des dĂ©penses services financiers sont solides, et celles des dopant ainsi le moral des investisseurs pourrait diriger l’économie japonaise produits de consommation sont reconnues Ă  et favorisant les F&A. L’apprĂ©ciation du vers un allĂ©gement de ce cycle. Sur les l’échelle internationale. Toutes chercheront Ă  dollar devrait elle aussi amĂ©liorer l’attrait marchĂ©s transactionnels, les entreprises faire des acquisitions au pays et Ă  l’étranger des transactions Ă  l’étranger, surtout dans japonaises se tournent de plus en plus vers et seront attrayantes pour les acquĂ©reurs la zone euro, oĂč les Ă©carts d’évaluation des acquisitions Ă  l’étranger, surtout dans Ă©trangers. Quant aux risques de baisse, les et de change sont les plus marquĂ©s. Le les secteurs des produits industriels et des Ă©lections imminentes et l’incertitude entourant principal inconvĂ©nient Ă©ventuel pour les produits de consommation. ParallĂšlement, le moment de la hausse attendue des taux nĂ©gociateurs aux États-Unis concerne le on constate une lĂ©gĂšre augmentation du d’intĂ©rĂȘt – qui fera monter la valeur de la livre, moment de la premiĂšre hausse attendue nombre d’acquisitions par des Ă©trangers surtout par rapport Ă  l’euro – pourraient freiner des taux d’intĂ©rĂȘt par la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale au Japon, surtout des investisseurs de les marchĂ©s transactionnels. au terme de l’allĂ©gement quantitatif et capital-investissement, mais aussi des le rythme global du retour Ă  des taux regroupements d’entreprises amĂ©ricaines d’intĂ©rĂȘt normalisĂ©s; cependant, les et japonaises dans les secteurs des rĂ©centes annonces de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale technologies et de l’immobilier. ont apaisĂ© ces inquiĂ©tudes. Principaux secteurs Automobile Produits Sciences Technologie Produits MĂ©dias et PĂ©trole et gaz Technologie Produits de industriels de la vie industriels divertissements consommation diversifiĂ©s diversifiĂ©s et commerce de dĂ©tail BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 19

Le BaromĂštre mondial de la confiance ‱ En fĂ©vrier et mars 2015, plus de des entreprises prĂ©sente une Ă©valuation 1 600 cadres supĂ©rieurs ont Ă©tĂ© sondĂ©s de la confiance des entreprises dans dans 54 pays; plus de 850 Ă©taient des les perspectives Ă©conomiques et rĂ©vĂšle chefs de la direction, des chefs des les tendances et pratiques des conseils finances ou d’autres cadres supĂ©rieurs. d’administration dans la gestion du ‱ Les rĂ©pondants reprĂ©sentent programme Enjeu Capital de leur entreprise, plus de 18 secteurs, dont les qui est le cadre d’EY favorisant la gestion services financiers, les produits de optimale du capital. consommation et le commerce de Le sondage est tenu rĂ©guliĂšrement auprĂšs dĂ©tail, les technologies, les sciences de de cadres supĂ©rieurs de grandes entreprises la vie, l’automobile et les transports, du monde entier et menĂ© par l’Economist le pĂ©trole et le gaz, l’énergie et les Intelligence Unit (EIU). Notre panel se services publics, les mines et mĂ©taux, compose de clients et relations d’EY Ă  les produits industriels diversifiĂ©s, l’échelle mondiale et de collaborateurs la construction et l’immobilier. rĂ©guliers de l’EIU. ‱ Le chiffre d’affaires annuel des sociĂ©tĂ©s mondiales participantes va de moins de ondage 500 M$ US Ă  plus de 5 G$ US comme suit : moins de 500 M$ US (16 %); de 500 M$ US Ă  999,9 M$ US (24 %); de 1 G$ US Ă  2,9 G$ US (26 %); de 3 G$ US Ă  4,9 G$ US (15 %); et plus de 5 G$ US (19 %). ‱ Les formes juridiques des entreprises participantes mondiales sont rĂ©parties comme suit : sociĂ©tĂ©s cotĂ©es en Bourse (67 %); sociĂ©tĂ©s Ă  capital fermĂ© (28 %); entreprises familiales (3 %); s du s sociĂ©tĂ©s d’État (2 %). opo À pr 2020 | B| BararomĂšomĂštrtre mondial de la ce mondial de la cononfiancfiance dee des ens entrtreprisepriseess

e Pour discuter de votre stratĂ©gie en matiĂšre de capital, n’hĂ©sitez pas Ă  communiquer avec nous. Monde AmĂ©riques Pip McCrostie Richard M. Jeanneret Vice-prĂ©sidente mondiale Leader pour les AmĂ©riques Services consultatifs transactionnels Services consultatifs transactionnels [email protected] [email protected] + 44 20 7980 0500 + 1 212 773 2922 Steve Krouskos Asie-Pacifique Vice-prĂ©sident mondial adjoint John Hope Services consultatifs transactionnels Leader pour l’Asie-Pacifique [email protected] Services consultatifs transactionnels + 44 20 7980 0346 [email protected] + 852 2846 9997 Europe, Moyen-Orient, Inde et Afrique (EMOIA) Andrea Guerzoni Leader pour l’EMOIA Services consultatifs transactionnels [email protected] + 39 0280 669 707 Japon Kenneth G. Smith Leader pour le Japon Services consultatifs transactionnels [email protected] + 81 3 4582 6400 our nous joindr P BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 21

Points saillants canadiens Nous apprenons dans notre dernier numĂ©ro du BaromĂštre de la confiance des entreprises que les entreprises canadiennes semblent enfin disposĂ©es Ă  rĂ©intĂ©grer le marchĂ© des F&A. PrĂšs des trois quarts des cadres supĂ©rieurs canadiens sondĂ©s prĂ©voient procĂ©der Ă  une acquisition au cours des 12 prochains mois. À 72 % des rĂ©pondants, cette proportion est beaucoup plus grande que chez leurs homologues mondiaux (56 %) et leurs homologues amĂ©ricains (61 %) et la plus Ă©levĂ©e depuis le lancement du BaromĂštre en 2009. AprĂšs deux ans de prudence Ă  l’égard des F&A, les cadres supĂ©rieurs canadiens ont rĂ©duit le nombre de transactions dans leur pipeline pour se concentrer sur leurs acquisitions ciblĂ©es. Suivant un changement spectaculaire par rapport Ă  notre sondage d’octobre 2014, alors que 78 % des entreprises canadiennes comptaient au moins cinq transactions dans leur pipeline, seulement 9 % en envisagent autant aujourd’hui. Dans notre tout dernier sondage, 85 % des rĂ©pondants canadiens indiquent qu’ils Ă©tudient seulement une ou deux transactions, dont la majoritĂ© seront probablement des transactions transfrontaliĂšres de petite envergure. Les cadres supĂ©rieurs canadiens ont tous mis en Ɠuvre la mĂȘme stratĂ©gie de croissance interne dans leur entreprise. Bien que les rĂ©pondants mondiaux et amĂ©ricains se concentrent sur diverses approches tantĂŽt novatrices tantĂŽt traditionnelles, les rĂ©pondants canadiens sont entiĂšrement tournĂ©s vers des investissements dans de nouvelles rĂ©gions et de nouveaux marchĂ©s. Les Canadiens regardent vers le sud – aux États-Unis (comme d’habitude), mais aussi vers l’AmĂ©rique latine. La Colombie, le Chili et l’Argentine figurent tous trois parmi les cinq principales destinations des investissements, ce qui correspond Ă  l’orientation du Canada vers le secteur des ressources naturelles. Le sondage nous rĂ©vĂšle une curieuse dichotomie entre la confiance des cadres supĂ©rieurs canadiens dans l’économie mondiale et leur confiance dans l’économie canadienne. Dans une imposante proportion de 93 %, les rĂ©pondants estiment que l’économie mondiale s’amĂ©liore, et seulement 13 % trouvent que l’économie locale s’amĂ©liore. Cette tendance est la mĂȘme partout dans le monde; cependant, le pessimisme du Canada Ă  l’égard de son Ă©conomie Ă©tait plus radical que dans d’autres pays. Il n’y a lĂ  rien de bien Ă©tonnant, Ă©tant donnĂ© la rĂ©cente volatilitĂ© des marchĂ©s de l’énergie et des devises qui a nui Ă  l’économie canadienne au cours des six derniers mois. De plus, un nombre beaucoup plus grand de rĂ©pondants perçoivent un recul de l’économie canadienne. Parmi les cadres supĂ©rieurs canadiens, 30 % voient leur Ă©conomie nationale d’un mauvais Ɠil, comparativement Ă  seulement 2 % des rĂ©pondants qui abondaient dans ce sens en octobre dernier. Nous continuons de voir de plus en plus d’entreprises canadiennes axĂ©es sur la rĂ©duction des coĂ»ts et l’efficience opĂ©rationnelle : 48 % des rĂ©pondants se concentrent maintenant sur ces objectifs, en regard de 39 % en octobre. Cependant, la pĂ©riode prolongĂ©e d’application de cette stratĂ©gie se terminera peut-ĂȘtre au cours des 12 prochains mois, Ă  mesure que de nouveaux venus sur le marchĂ© des F&A finiront d’examiner leurs options et s’engageront dans au moins une acquisition. AprĂšs des annĂ©es d’attentisme, les Canadiens semblent maintenant disposĂ©s Ă  adopter une approche rationnelle pour rĂ©intĂ©grer la scĂšne transactionnelle. Doug Jenkinson Leader canadien Services consultatifs en dĂ©sinvestissements 2222

Principales constatations Canada Monde prĂ©voient procĂ©der Ă  des acquisitions 72% au cours des 56% 12 prochains mois prĂ©voient conclure plus 91% de transactions que 47% l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente indiquent que leur transaction la plus 88% importante au cours des 77% 12 prochains mois ne dĂ©passera pas 250 M$ visent surtout des F&A transfrontaliĂšres 91% au cours des 84% 12 prochains mois BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises | 23

Pour discuter de votre stratĂ©gie en matiĂšre de capital, n’hĂ©sitez pas Ă  communiquer avec nous. Murray McDonald Colombie-Britannique Leader canadien Kevin Brennan Services consultatifs transactionnels [email protected] anada [email protected] 604 889 3551 416 943 3016 Alberta Doug Jenkinson Neil Narfason Leader canadien [email protected] Services consultatifs en dĂ©sinvestissements 403 206 5067 [email protected] Manitoba 416 943 3589 Joe Healey [email protected] 204 954 5568 Ontario Alex Morrison [email protected] e au C 416 941 7743 QuĂ©bec François Tellier [email protected] 514 874 4351 Atlantique Jim Lutes [email protected] 506 634 2158 our nous joindr P 24 | BaromĂštre mondial de la confiance des entreprises

EY | Certification | FiscalitĂ© | Services transactionnels | Services consultatifs À propos d’EY EY est un chef de file mondial des services de certification, services de fiscalitĂ©, services transactionnels et services consultatifs. Les points de vue et les services de qualitĂ© que nous offrons contribuent Ă  renforcer la confiance envers les marchĂ©s financiers et les diverses Ă©conomies du monde. Nous formons des leaders exceptionnels, qui unissent leurs forces pour assurer le respect de nos engagements envers toutes nos parties prenantes. Ce faisant, nous jouons un rĂŽle crucial en travaillant ensemble Ă  bĂątir un monde meilleur pour nos gens, nos clients et nos collectivitĂ©s. EY dĂ©signe l’organisation mondiale des sociĂ©tĂ©s membres d’Ernst & Young Global Limited, lesquelles sont toutes des entitĂ©s juridiques distinctes, et peut dĂ©signer une ou plusieurs de ces sociĂ©tĂ©s membres. Ernst & Young Global Limited, sociĂ©tĂ© Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e par garanties du Royaume-Uni, ne fournit aucun service aux clients. Pour en savoir davantage sur notre organisation, visitez le site ey.com/ca/fr. À propos des Services consultatifs transactionnels d’EY La façon dont vous gĂ©rez votre capital aujourd’hui dĂ©terminera votre future situation concurrentielle. Nous travaillons avec nos clients Ă  gĂ©nĂ©rer une valeur sociale et Ă©conomique en les aidant Ă  faire des choix meilleurs et mieux Ă©clairĂ©s en matiĂšre de gestion stratĂ©gique des capitaux et de transactions sur un marchĂ© qui Ă©volue rapidement. Que votre objectif soit de prĂ©server, d’optimiser, de mobiliser ou d’investir du capital, l’équipe des Services consultatifs transactionnels d’EY rĂ©unit un ensemble unique de compĂ©tences, de connaissances et d’expĂ©rience pour vous fournir des conseils ciblĂ©s. Nous vous aidons Ă  vous tailler un avantage concurrentiel et Ă  accroĂźtre vos rendements par de meilleures dĂ©cisions dans tous les aspects de votre programme Enjeu Capital. © 2015 Ernst & Young s.r.l./s.e.n.c.r.l. Tous droits rĂ©servĂ©s. SociĂ©tĂ© membre d’Ernst & Young Global Limited. 1444032 DE00 Le prĂ©sent document a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© Ă  des fins d’information gĂ©nĂ©rale uniquement et l’information qu’il contient n’est pas censĂ©e constituer un conseil de comptabilitĂ©, conseil de fiscalitĂ© ou autre conseil professionnel. Veuillez consulter vos conseillers pour obtenir des conseils particuliers. ey.com/ccb